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Le septième jour
Le septième jour
Seul·e en scène
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infos pratiques
lieu
MAISON DE LA PAROLE
Nom de la salle :
La Maison de la Parole
Nombre de places : 29
Téléphone de réservation :
04 90 82 61 10
Téléphone de réservation 2 :
06 17 74 60 31
Voir toute la programmation
moyens de paiement
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Introduction
See english version
Heaven is waiting for a gesture to consider a new return: that we have the courage to imagine it.
Le paradis n’attend qu’un geste pour envisager un nouveau retour : qu’on ait le courage de l’imaginer.
description
See english version
THE SEVENTH DAY begins with a cosmogonic myth: on the seventh day of creation, harmony reigned between human beings and nature; it was such that heaven needed neither poets nor storytellers because justice and beauty were always present everywhere. Then greed appeared causing dissonance and conflict.
In the 21st century, this show takes a look at those expelled from heaven, the marginalized and humiliated to whom we say and repeat until satiety that paradise is unfortunately lost, that injustice is the natural state of life and that the best thing to do is to accept it and throw oneself into the arms of each other for himself.
THE SEVENTH DAY invites us to consider that, perhaps, paradise is not lost, that it is somewhere mistreated, privatized and above all forgotten; that it is possible that it is he, paradise, who has been expelled from humanity, expelled from our thoughts and dreams, and that he is waiting for a gesture to consider a new return: that we have the courage to imagine it.
As long as this seventh day is away from us, poetry will persist in speaking, speech will irrigate the arts and the art of speech will persist, far from any posture, as an intimate necessity.
LE SEPTIÈME JOUR commence par un mythe cosmogonique : au septième jour de la création, l’harmonie régnait entre les êtres humains et la nature ; elle était telle que le paradis n’avait besoin ni de poètes ni de conteurs car la justice et la beauté étaient présentes toujours et partout. Puis la cupidité est apparue entrainant dissonance et conflits.
En plein XXIe siècle, ce spectacle jette un regard sur les expulsés du paradis, les marginalisés et humiliés à qui l’on dit et redit jusqu’à satiété que le paradis est malheureusement perdu, que l’injustice est l’état naturel de la vie et que le mieux à faire est de l’accepter et de se jeter dans les bras du chacun pour soi.
LE SEPTIÈME JOUR nous invite à considérer que, peut-être, le paradis n’est pas perdu, qu’il est quelque part maltraité, privatisé et surtout oublié ; qu’il est possible que ce soit lui, le paradis, qui ait été expulsé de l’humanité, expulsé de nos pensées et de nos rêves, et qu’il n’attend qu’un geste pour envisager un nouveau retour : qu’on ait le courage de l’imaginer.
Tant que ce septième jour se tiendra loin de nous, la poésie s’obstinera à prendre la parole, la parole irriguera les arts et l’art de la parole persistera, loin de toute posture, comme une nécessité intime.
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informations
du 5 au 26 juillet
relâche les 10, 17, 24 juillet
16h30
1h10
MAISON DE LA PAROLE
Salle : La Maison de la Parole -
S'y rendre
Langue principale : français
Public : Tout public à partir de 12 ans
Accessibilité :
Accessible aux déficients visuels
Avertissements : Aucun
tarifs
15 €
plein
tarif
10 €
abonné⋅e
tarif off
5 €
enfant **
tarif enfant
5 €
jeune abonné⋅e 12/25 ans - du 5 au 9 juillet
jeune abonné
** Tarif réservé au moins de 12 ans
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Comment réserver ?
auteur⸱ice
De Alberto Garcia Sanchez
équipe artistique
Nelly Bernard - Collaboration artistique
Jean-Jacques Epron - Collaboration artistique
Alberto García Sánchez
Origine : BELGIQUE
Description :
Né à Barcelone et résident belge, le parcours d’Alberto García Sánchez commence à Barcelone sous l’influence du théâtre catalan après la chute de la dictature franquiste. Engagé dans la vie sociale et politique, il participe à de nombreux festivals internationaux de théâtre en Espagne et en Amérique latine. Il anime des activités culturelles dans les prisons, dans les écoles, dans le mouvement citoyen de sa ville et s’engage comme comédien-brigadiste dans la révolution sandiniste au Nicaragua.
Alberto García Sánchez est comédien, conteur, metteur en scène et auteur. Le prix du jury du meilleur comédien lui a été décerné par le journal allemand Stuttgarter Zeitung. Plusieurs de ses pièces ont été remarquées en tant qu’auteur (Premier prix du festival d’Erfurt 2012 pour la pièce « Drei Affen ») et son travail de metteur en scène a été salué par plusieurs récompenses, notamment le prix du ministère de la culture de Belgique dans le festival de Huy, et en 2011, le prix Molière pour la pièce « Vy » de Michèle Nguyen.
Avec Théâtre Octobre il entre en scène en solo avec « Johan Padan à la découverte des Amériques » et « Mistero Buffo » de Dario Fo et il écrit et présente les spectacles « Machintruc », « Elle et mon genre » et « Le septième jour ».
Outre son travail de comédien, il met en scène de nombreuses compagnies telles que l’Ensemble MaterialTheater de Stuttgart, la compagnie Le Chien Qui Tousse en Belgique (prix de la ministre de la culture du festival d’Huy). Il prend en charge les projets internationaux « Le Cadeau » et « King Kongo » réalisés avec des comédiens d’Europe et de la République Démocratique du Congo ; il met en scène « La fascination du désastre » de la compagnie Atelier 29 (En coproduction avec le Manège de Reims - Scène nationale), et « Le Cahier d’Élikia » avec la compagnie La Cavalière Bleue.
Le spectacle en video
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