Jeudi 31 Juillet 2025 Presse J’avais gardé un souvenir ému et puissant de LA MAIN DE LEÏLA et surtout des POUPÉES PERSANES : deux spectacles denses, intimes et profondément politiques, portés par la plume sensible et affûtée d’Aïda Asgharzadeh. C’est donc avec une véritable attente que je suis allé découvrir LE DERNIER CÈDRE DU LIBAN. Voir l'article complet Toute notre revue de presse